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La manière la plus recommandée de réagir face à un appel suspect implique plusieurs étapes. Tout d'abord, gardez toujours à l'esprit qu'il faut rester vigilant et ne pas divulguer d'informations personnelles, financières ou sensibles par téléphone, à moins que vous soyez absolument certain de l'identité de la personne à l'autre bout du fil. Si vous recevez un appel suspect, la première chose à faire est de ne pas paniquer. Ensuite, demandez à l'appelant de se présenter clairement et de préciser le motif de l'appel. S'ils sont évasifs ou pressants, c'est probablement un signe que l'appel n'est pas légitime. Prenez ensuite le temps de vérifier l'information donnée par l'appelant. Si par exemple ils prétendent appeler de la part d'une entreprise ou d'un organisme avec lequel vous êtes en relations, raccrochez et appelez directement l'entreprise ou l'organisme concerné pour vérifier. Utilisez les numéros que vous avez déjà ou ceux figurant sur le site officiel de l'entreprise, ne faites pas confiance à un numéro que l'appelant vous donnerait. Enfin, il est fortement conseillé de signaler l'appel suspect à votre opérateur téléphonique ainsi qu'à la plateforme de signalement officielle du gouvernement : "Pharos" (https://www.internet-signalement.gouv.fr/). Il est crucial de noter que la prudence est de mise, même si le numéro qui apparaît sur l'écran de votre téléphone semble légitime, les arnaqueurs sont capables de usurper les numéros de téléphone officiels. En somme, la clé est de rester vigilant, de prendre le temps de vérifier les informations et de toujours signaler les appels suspects.
Les numéros de téléphone sont généralement obtenus par les démarcheurs de spam via plusieurs méthodes. Tout d'abord, le démarchage direct. Cela signifie que lorsque vous utilisez votre numéro de téléphone pour vous inscrire à des services, créer des comptes, des inscriptions en ligne ou participer à des concours, vos informations peuvent être vendues à des tiers, y compris des démarcheurs. Ensuite, l'achat de listes de numéros de téléphone est une pratique courante. Ces listes peuvent être compilées à partir de diverses sources, y compris les répertoires d'entreprises et les fournisseurs de services. Elles peuvent également être achetées auprès d'autres sociétés qui vendent des informations sur leurs clients. Il existe également la méthode dite de la composition automatique. Certains démarcheurs utilisent des logiciels qui composent des numéros de téléphone au hasard ou dans un ordre séquentiel, dans l'espoir qu'ils sont actifs. Enfin, il y a le hameçonnage ou phishing. Il s'agit de tentatives d'obtenir des informations sensibles telles que les noms, mots de passe et numéros de carte de crédit en se faisant passer pour une entité digne de confiance dans une communication électronique. Il est recommandé de faire preuve de prudence lors de la divulgation de son numéro de téléphone et d'éviter de le partager en ligne autant que possible pour se protéger contre le spam.
Oui, les réglementations concernant la gestion des appels indésirables varient beaucoup d'un pays à l'autre. Par exemple, aux États-Unis, la Federal Trade Commission (FTC) a mis en place le "National Do Not Call Registry", qui permet aux consommateurs de réduire le nombre d'appels commerciaux qu'ils reçoivent. De même, au Canada, le "National Do Not Call List" (DNCL) offre un mécanisme similaire. En France, l'organisme chargé de la régulation des communications électroniques et des postes (l'ARCEP) a développé un dispositif appelé "Bloctel", qui permet aux consommateurs de s'inscrire sur une liste d'opposition au démarchage téléphonique. En Australie, le "Do Not Call Register" permet également aux consommateurs de se protéger contre les appels de démarchage. Il convient cependant de noter que l'efficacité de ces dispositifs dépend largement de la rigueur avec laquelle les lois sont appliquées dans chaque pays. Dans certains cas, malgré l'existence de telles lois, les consommateurs continuent de recevoir des appels indésirables en raison de lacunes dans l'application de la réglementation.
Oui, le démarchage téléphonique est légal en France. Toutefois, il est réglementé par la loi. Il est interdit de contacter des personnes qui ont exprimé leur refus de recevoir ce type d'appels en s'inscrivant sur la liste d'opposition Bloctel. De plus, certaines plages horaires sont définies pour protéger le consommateur. Par exemple, les appels de démarchage ne sont pas autorisés les jours fériés, le dimanche ou après 20 heures en semaine. En cas de non-respect de ces règles, des sanctions peuvent être appliquées. Pour ce qui est des entreprises, elles doivent obtenir l'accord préalable de leurs clients avant de procéder à un démarchage téléphonique, conformément à l'article L.223-1 du code de la consommation. Elles doivent aussi informer les personnes démarchées de leur droit à s'opposer à recevoir de nouveaux appels. Il est fortement recommandé aux consommateurs de s'inscrire sur le site Bloctel pour se protéger contre le démarchage téléphonique abusif ou de signaler toute pratique illégale à la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) ou la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) du département où se trouve le professionnel en cause. Sources : Legifrance, Code de la consommation, Article L223-1 ; Bloctel, le site officiel du registre d'opposition à la prospection téléphonique.
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