02 21 81 02 04 | Propriétaire & Avis | A qui est ce numéro ?

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Indicatif : Région Nord-Ouest (Bretagne, Centre Val de Loire, Normandie, Pays de la Loire)
Comment écrire le numéro 02 21 81 02 04
02 21 81 02 04 0221 81 02 04
0033221810204 +33 221 81 02 04
0221.81.02.04 +33 2 21 81 02 04
+33221810204 00.33.221.81.02.04
+33.221.81.02.04 0033 2 21 81 02 04
0033 221 81 02 04 0033.221.81.02.04
Comment les tendances des appels indésirables ont-elles évolué au fil du temps ?

Au cours des dernières années, le nombre d'appels indésirables a considérablement augmenté. Cela est en grande partie dû à l'augmentation de la technologie qui a rendu l'envoi de ces appels plus facile et moins coûteux pour les expéditeurs. En outre, les appels automatisés, connus aussi sous le nom de robocalls, ont connu un essor particulièrement remarquable. Ces appels utilisant la technologie de numérotation automatique et souvent avec un message pré-enregistré, ont touché un nombre sans précédent de personnes dans divers pays. Par exemple, aux États-Unis, selon la Commission fédérale de communication (FCC), plus de 5,6 milliards d’appels automatisés ont été effectués rien qu'au mois de novembre 2019. Un chiffre qui montre le degré de prolifération de ces appels indésirables. On note donc une augmentation significative du nombre de ces appels indésirables dans le temps. Toutefois, certaines mesures sont prises pour lutter contre ces appels indésirables, à l'instar du renforcement des réglementations et de l'introduction de nouvelles technologies pour bloquer ces appels. On espère donc voir une diminution de ces appels indésirables dans le futur. A titre de source complémentaire, on peut se référer au site de la FCC ou à certains rapports spéciaux tels que celui de la Consumer Union sur le harcèlement téléphonique.

Y a-t-il des différences dans la gestion des appels indésirables selon les pays ?

Oui, les réglementations concernant la gestion des appels indésirables varient beaucoup d'un pays à l'autre. Par exemple, aux États-Unis, la Federal Trade Commission (FTC) a mis en place le "National Do Not Call Registry", qui permet aux consommateurs de réduire le nombre d'appels commerciaux qu'ils reçoivent. De même, au Canada, le "National Do Not Call List" (DNCL) offre un mécanisme similaire. En France, l'organisme chargé de la régulation des communications électroniques et des postes (l'ARCEP) a développé un dispositif appelé "Bloctel", qui permet aux consommateurs de s'inscrire sur une liste d'opposition au démarchage téléphonique. En Australie, le "Do Not Call Register" permet également aux consommateurs de se protéger contre les appels de démarchage. Il convient cependant de noter que l'efficacité de ces dispositifs dépend largement de la rigueur avec laquelle les lois sont appliquées dans chaque pays. Dans certains cas, malgré l'existence de telles lois, les consommateurs continuent de recevoir des appels indésirables en raison de lacunes dans l'application de la réglementation.

Comment les technologies comme l'IA sont-elles utilisées pour combattre les appels indésirables ?

L'intelligence artificielle (IA) joue un rôle essentiel dans la lutte contre les appels indésirables. Elle agit principalement par l'identification et le filtrage de ces appels. L'IA peut reconnaître les schémas récurrents qui signalent un appel indésirable. Par exemple, elle peut détecter les nombres inhabituels de numéros bloqués, l'utilisation répétée du même numéro pour un grand nombre d'appels, ou les appels effectués à des moments non conventionnels. Ces modèles de comportement sont des signes indiquant qu'un appel est probablement indésirable. Le fleuron de l'IA dans ce domaine est la technologie de reconnaissance vocale. L'IA peut être formée à reconnaître certaines phrases, accents ou modèles de discours couramment utilisés par les télévendeurs ou les fraudeurs téléphoniques. En outre, l'IA peut apprendre et s'adapter en fonction de nouveaux schémas d'appels indésirables. Par exemple, si un nouveau numéro commence à appeler de nombreux utilisateurs avec le même discours, l'IA peut rapidement détecter ce comportement et bloquer les appels futurs. L'IA peut également interagir avec l'appelant pour confirmer s'il s'agit ou non d'un appel indésirable. Par exemple, certaines technologies peuvent poser des questions pré-établies à l'appelant et, en fonction de ses réponses, décident d'accepter ou de rejeter l'appel. Plusieurs entreprises comme Google et Apple intègrent des fonctionnalités basées sur l'IA dans leurs systèmes d'exploitation pour aider les utilisateurs à se protéger contre les appels indésirables. Par exemple, l'application téléphonique Google utilise l'IA pour prévenir les utilisateurs des appels de spam présumés. Pour une utilisation plus spécifique, des applications tierces utilisent aussi l'IA pour bloquer ces appels indésirables. Plusieurs de ces applications sont disponibles sur le marché français, comme "RoboKiller" ou "Truecaller" qui analyser les flux d'appel entrant pour en distinguer les indésirables et les bloquer.

Peut-on être remboursé en cas d'arnaque téléphonique ?

Effectivement, en cas d'arnaque téléphonique, il est possible d'obtenir une recours et potentiellement un remboursement. Tout dépend de la nature de l'arnaque ainsi que de votre réactivité. Plus tôt vous signalez le problème, plus vos chances d'être remboursé seront élevées. Il vous faut d'abord porter plainte auprès de la police ou la gendarmerie en fournissant le maximum d'informations sur l'arnaque (numéro de téléphone, heures d'appels, nom de la société si elle a été mentionnée, etc.). Le dépôt de plainte est essentiel, car il permet de mettre en marche l'enquête judiciaire. Par la suite, contactez votre banque si vos coordonnées bancaires ont été utilisées frauduleusement, celle-ci pourra éventuellement rembourser les sommes débitées frauduleusement dans certains cas, notamment si vous n'êtes pas responsable de la fraude. Par ailleurs, il est recommandé de signaler l'arnaque à votre opérateur téléphonique, à la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) et sur la plateforme gouvernementale dédiée aux arnaques sur internet : internet-signalement.gouv.fr. De cette manière, des mesures peuvent être prises pour éviter que d'autres personnes ne se fassent escroquer de la même manière. Cependant, il faut préciser que malgré toutes ces démarches, le remboursement n'est pas toujours garanti. La prévention reste la meilleure arme contre les arnaques téléphoniques.

Y a-t-il des statistiques ou des tendances concernant les numéros les plus fréquemment signalés comme indésirables ?

En effet, certaines études statistiques soulignent des tendances dans les numéros les plus fréquemment signalés comme indésirables. La tendance générale est que les numéros commençant par certaines séries de chiffres, comme les 089 ou 097, sont souvent considérés comme suspectes. Ces numéros sont généralement liés à des services surtaxés, des arnaques ou des démarchages commerciaux abusifs. Dans le détail, les numéros commençant par 09 sont très souvent sollicités par les télévendeurs et les services clientèles de différentes entreprises. Les numéros en 08, quant à eux, sont principalement liés à des services surtaxés, et peuvent donc être suspectés d'arnaques. Il est intéressant de noter que les numéros courts, de 4 à 6 chiffres, sont également souvent signalés. Ceux-ci sont généralement liés à des services de SMS surtaxés. Pour conclure, il est nécessaire de faire preuve de vigilance face à tous les appels de numéros inconnus, et particulièrement ceux commençant par 08, 09, ou des numéros courts. En cas de doute, il est conseillé de ne pas répondre et de signaler le numéro à l'organisme compétent. Ces informations peuvent être confirmées par des sources officielles comme le site de l'Agence nationale des Fréquences (ANFR), ou celui de l'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse).